dessins de Bourdelle "Isadora" en 1909
Ce que j'aime dans ces dessins ce sont ses dualités.
Son corps exprime une grande ouverture et liberté de mouvements mais sa tête paraît ailleurs, comme enfermée dans le mental. S'en dégage une multitude d'émotions, quelles soient de tristesse, de colère, de résignation ou d'acceptation...
Ces dessins furent pour moi un miroir montrant toute l'ambiguïté qu'on peut avoir dans nos comportements.