jeudi 24 novembre 2011



 
dessins de Bourdelle "Isadora" en 1909

Ce que j'aime dans ces dessins ce sont ses dualités. 
Son corps exprime une grande ouverture et liberté de mouvements mais sa tête paraît ailleurs, comme enfermée dans le mental. S'en dégage une multitude d'émotions, quelles soient de tristesse, de colère, de résignation ou d'acceptation...
Ces dessins furent pour moi un miroir montrant toute l'ambiguïté qu'on peut avoir dans nos comportements.